victime d'une agression

L’insécurité au cœur du débat de la prochaine présidentielle ?

Attentats, agressions, violences urbaines, viols, braquages, rixes, des faits qui se produisent tous les jours en France. Et ce n’est pas uniquement dans les grandes villes que l’on peut constater cela. Aujourd’hui l’insécurité est partout, personne n’est épargné. Quel est le problème, pourquoi rien ne change, est-ce que les français vont exiger des actions pour que les coupables soient davantage punis et que la récidive baisse ?

Les français en ont marre de la violence

Outrés de voir un jeune de 14 ans se faire tuer lors d’une rixe, d’un autre mourir sous les coups de plusieurs jeunes de 15, 16 ans, les français veulent que ça change. La violence commence très jeune, on voit même des gamins de 9 ans commettre des délits dans nos villes. Les violences urbaines dans certains quartiers sont insupportables. Les rodéos, les trafics de drogue, les cambriolages et les agressions sont au menu chaque jour. Les français aimeraient ne plus avoir peur et demande à ce que tout cela cesse. Est-ce que les politiques au pouvoir vont enregistrer les requêtes de ceux qui les ont élus ? L’insécurité lors de la prochaine élection présidentielle devrait sans doute faire l’objet d’une grande attention.

Des victimes indemnisées, mais qui n’oublieront jamais

Heureusement qu’il existe des lois pour aider les victimes et notamment pour indemniser les victimes d’agression ou d’attentat, car la douleur qu’ils endure est innommable. Lorsque l’on se fait agresser dans la rue alors que l’on ne faisait que passer pour faire son shopping, le traumatisme est immense. Certaines victimes restent handicapées à vie suite à leur agression. On ne reviendra pas sur les événements qui ont touché la France il y a quelques mois/années, mais il est vrai que l’on peut espérer que les candidats aux élections présidentielles auront une grande place dans leur programme pour ce sujet si important aux yeux des français. L’insécurité n’a pas sa place en France, ne la laissons pas occuper notre quotidien, demandons aux politiques d’agir fermement avec les coupables et de rouvrir pourquoi pas des centres pour mineurs. Car aujourd’hui, un mineur qui commet une agression sort la plupart du temps du bureau du juge avec un simple rappel à la loi…